Chapitre 10

Les yeux fermés, Duo savourait tout particulièrement l’eau qui coulait sur son corps. La chaleur excessive de celle-ci emplissait la cabine de douche d’une épaisse vapeur et dénouait les noeuds douloureux de ses épaules courbaturées. Avec une douceur toute particulière, se laissant bercé par le bruit de l’eau cascadant du pommeau de douche, Duo se mit à fredonner une chanson lakota d’avant colonie qui avait apprise il ne se souvenait plus où ni quand :

– Hanhepi kin was’te ake is’tima… hanhepi kin was’te

Après avoir profité à outrance du bien être que lui procurait l’eau et rincé sa chevelure, Duo consentit à contrecoeur à sortir de la douche.

– Cante’ waste’ hoksila ake istimba, hanhepi kin waste’ lo hieh… (1)

Essorant ses cheveux, il attrapa la serviette qu’il noua sur sa tête, emprisonnant sa crinière de façon à éponger l’eau superflue qu’elle retenait. Après quoi, il s’empara d’une seconde serviette qu’il noua sur sa taille qui, à présent, avait perdue sa finesse, pour aborder une belle rondeur qui ne laissait plus aucun doute sur l’état avancé de sa grossesse. A six mois de grossesse, après des premiers mois difficiles, Duo se sentait serein. Son corps s’était adapté aux changements dus à la vie qui grandissait en lui, et il avait apprit à l’accepter et à apprivoiser ce corps qu’il ne reconnaissait plus.

Une fois sec, il enfila son boxer avant de reporter son attention sur le reflet que lui renvoyait le miroir de la salle de bain. Avec une douceur qu’il avait acquise au fil du temps, Duo posa la main sur son ventre et le caressa délicatement. Immanquablement, ce simple geste le fit replonger dans ses pensées qu’il s’efforçait difficilement à occulter de son esprit, ces mêmes pensées qui se tournaient vers un certain japonais de sa connaissance. Se giflant mentalement en sentant les larmes lui brouiller la vue, il s’efforça à penser à autre chose et abandonnant son reflet, il attrapa sa salopette et entreprit de l’enfiler, non sans difficultés.

Une fois habillé, il s’empara de sa brosse à cheveux et alors qu’il rassemblait sa masse de cheveux sur une épaule afin de la démêler, une voix provenant de sa chambre l’interrompit :

– Duo ? Tu es là ?

Fou de joie en reconnaissant cette voix, le châtain de releva et aussi vite que le lui permettait son ventre rebondi, il sortit de la salle d’eau et se précipita vers le nouveau venu :

– Zechs ! S’exclama-t-il en se jetant dans les bras de son aîné. Dieu, comme tu m’as manqué ! Murmura-t-il dans un soupir de bien être alors que les bras puissants de Zechs se refermaient autour de lui en une étreinte possessive.

– C’est bon de te revoir, enkeli (2), souffla le blond à son tour, humant à plein poumon l’odeur de pêche qui émanait de la chevelure du châtain. Comment te sens-tu ? Montre-toi, que je puisse te voir, ajouta-t-il en repoussant son cadet afin de pouvoir admirer la nouvelle courbe de son ventre.

Heureux comme jamais, l’américain obtempéra et s’arracha à l’étreinte de l’officier, un immense sourire étirant ses lèvres, les yeux brillants de larmes qu’il avait de plus en plus de mal à contenir. Tenant les mains de son cadet à bout de bras, debout devant lui, Zechs contemplait sans la moindre pudeur les courbes arrondies de l’adolescent qui se mit à rougir sous le regard inquisiteur de son aîné.

– Tu es magnifique, Duo, déclara sérieusement le blond.

A ces mots, le châtain s’empourpra violemment, peu habitué à ce genre de réflexions, et extrêmement gêné, il répliqua :

– N’dis pas n’importe quoi ! Je suis énorme…

– C’est parce que tu te vois avec tes yeux, répondit gravement le pilote du Tallgeese. Si tu te voyais avec mes yeux, tu comprendrais…

Les yeux dans les yeux, aucun des deux hommes ne parvenait à détourner le regard, comme hypnotisé par l’autre. C’est un miaulement qui les ramena à la réalité et se rendant compte de l’étroite proximité avec le blond, Duo détourna le regard, horriblement gêné, ses joues se teintant d’une belle couleur carmine.

– Tu es là, petit monstre ? S’exclama alors l’officier en prenant un magnifique chaton de quatre mois, aux longs poils blancs et aux yeux bleus, dans ses bras. Alors, demanda-t-il à l’animal en le caressant délicatement, as-tu pris soin de ton maître pendant mon absence ?

Seul un petit miaulement lui répondit et Duo laissa s’échapper un petit rire amusé lorsque le chaton lécha le nez de Zechs.

– Il a vite pris ses aises, déclara le châtain avec amusement. Tu sais ce qu’il adore faire maintenant ? Il se couche en boule sur mon ventre et se met à ronronner.

Zechs ne répondit rien, mais un large sourire attendrit étira ses lèvres alors qu’il imaginait sans peine la scène décrite par l’américain. Après un court silence, avisant les cheveux dénattés de l’adolescent, le blond demanda :

– Un coup de main ?

– Avec plaisir, répondit le châtain lui tendant sa brosse avant de s’installer en tailleur sur le lit, suivit par Zechs.

Avec une douceur infinie, le blond sépara une petite mèche de cheveux qu’il commença à brosser délicatement, arrachant un soupir de bien être à son cadet.

– Raconte moi, comment s’est passée ta mission ?

– Longue et éprouvante, soupira l’officier. Je suis heureux d’être de retour. Je devais superviser le lieutenant Noin dans la formation de ses nouvelles recrues et bien que j’ai été heureux de retrouver une amie, le faire dans ses conditions n’est pas chose aisée. Le plus dur ça a été d’inculquer aux jeunes recrues des valeurs auxquelles je n’adhère plus. Ils me voyaient comme un héros, chose que je ne suis pas. Tous rêvent de me ressembler plus tard, aucun ne doute de ma loyauté envers l’Organisation Zodiacale et le Colonel Kushrénada. J’avais envie de leur ouvrir les yeux, de leur faire prendre conscience qu’ils faisaient partie du mauvais camp, mais je ne pouvais me le permettre. J’ai un rôle à tenir, une mission à accomplir, j’ai juré de prendre soin de toi Duo, et je le ferais…

– Tu m’as manqué, Zechs, soupira le châtain, deux mois c’est trop long. Je ne veux plus que tu partes aussi longtemps…

– Je ferais mon possible, répondit le blond.

Soudain, le natté sursauta violemment, étouffant un hoquet de surprise :

– Ca ne va pas, Duo ? Demanda Zechs inquiet, à qui le sursaut de Duo n’avait pas échappé.

Le natté ne répondit rien, les lèvres étirées en un sourire que Zechs ne pouvait pas voir et sans un mot, il s’empara de la main de son aîné qui, bien que surpris, se laissa faire. Délicatement, il déposa la main de Zechs sur son ventre et à son tour, le blond sursauta de surprise en le sentant bouger.

– Tu le sens ? Demanda le natté en une question purement rhétorique.

– Hun hun, souffla Zechs en hochant la tête, n’osant pas s’exprimer à haute voix, comme par peur de faire cesser cet instant magique.

Un sourire radieux et épanoui illuminant son visage, Duo se laissa aller à la renverse, prenant appui sur le torse puissant de Zechs tandis que le blond caressait son ventre avec adoration. L’américain soupira de bien être et se laissa aller à l’étreinte de son aîné et laissa sa main aller rejoindre celle de Zechs sur son ventre.

– Cela fait longtemps que tu le sens bouger ? Demanda l’officier après un instant de silence.

– Peut être dix ou quinze jours après que tu sois parti, répondit le natté après quelques secondes de réflexion. C’est étrange comme sensation, expliqua l’adolescent, ça donne l’impression d’avoir des papillons dans le ventre. Il me tarde de voir à quoi il ressemble à présent.

– Tu n’as pas encore eu ta deuxième échographie ? Demanda Zechs surpris.

– Non, je dois la passer dans la semaine. Je sais pas trop encore. Je voulais t’attendre pour la passer, je pensais que tu aimerais y assister aussi, avoua l’américain d’une petite voix. Mais comme tu es rentré plus tôt, Sally me la fera certainement passer demain.

– Merci de m’avoir attendu, déclara Zechs en l’embrassant sur les cheveux. Je suis heureux que tu ais pensé à moi. Sally n’a pas émit d’objection ?

– Si, avoua le pilote du Deathscythe en riant. Elle râlait comme un putois mais j’ai fini par la faire céder.

– Te connaissant, je suis persuadé que tu as su trouver l’argument convaincant !

– Et bien, je lui ais simplement dit qu’on ne contrariait pas une femme enceinte, chose qu’elle devait savoir mieux que moi ! Avoua innocemment l’américain.

– Ben voyons, s’exclama Zechs faussement sceptique. C’est bien quand ça t’arrange, hein ?

– Sally a fait la même réflexion, sourit l’adolescent, visiblement amusé.

– Petit démon, souffla Zechs sans grande conviction.

Ils restèrent quelques minutes ainsi enlacés, puis Duo se redressa et Zechs reprit sa mission première, c’est à dire, démêler la chevelure ondoyante de l’adolescent. Le châtain de son côté, caressait distraitement Tanganyika, son chaton qui était venu se coucher sur ses jambes croisées. Brisant le silence, Zechs demanda, une pointe de curiosité dans la voix :

– As-tu pensé à des prénoms ?

– A vrai dire, pas vraiment, avoua le châtain. Mais même sans y avoir vraiment réfléchi, j’aime beaucoup Winter, Ophélie, Sly ou Arwen, si c’est une fille.

– Le premier est joli, quant au dernier, je ne te demande pas où tu l’as pioché, fit remarquer le blond en souriant.

– Oui bon, bouda l’adolescent. Et toi, tu as des idées ? Interrogea-t-il, curieux de savoir les goûts et les préférences de son ami.

– Pour une petite fille, Cassandra est un prénom charmant ou alors Cheyenne.

– J’aime beaucoup Cheyenne. J’aurais jamais imaginé que choisir un prénom d’un enfant puisse être une tâche aussi difficile, soupira Duo alors que Zechs terminait de natter ses cheveux. Merci.

– Je t’en prie, répondit l’aîné. Dis-toi que l’avantage que tu as, c’est que tu as carte libre pour choisir le prénom. Si tu as du mal déjà comme ça, imagine-toi à deux, avec un des parents qui n’aime pas les prénoms trop long et l’autre qui n’aime pas les prénoms trop courts finissant en « a », un qui veut un prénom classique, l’autre un prénom un peu plus original…

– J’n’avais pas prit ça en compte en effet, soupira une nouvelle fois le natté. N’empêche, que je compte sur toi et Sally pour me donner votre avis !

– C’est un grand honneur que tu me fais, le remercia l’officier. Merci Duo.

– C’est la moindre des choses que je puisse faire pour vous remercier, répondit le pilote du Deathscythe. J’ai faim, souffla honteusement le natté quelques secondes plus tard.

– Tu veux que j’aille te chercher quelque chose ? Demanda Zechs.

– Non, par contre, je veux bien que tu me lâche. J’ai un paquet de biscuit que Sally m’a apporté hier sur le bureau, expliqua le châtain.

– Je vois que tu as tout prévu, fit le blond en souriant, libérant le natté qui se leva pour aller chercher le paquet de biscuit dont il était question.

– « Une précaution excessive ne fait pas de tort », récita soigneusement l’américain en brandissant fièrement son paquet de biscuit.

– Certes, répondit distraitement le blond qui n’avait pas quitté l’adolescent du regard, contemplant avec une certaine fascination les formes arrondies de son cadet.

Un sourire étira ses lèvres face à la démarche de l’américain qui cambrait légèrement le dos pour compenser le poids de son ventre. Sa démarche n’était plus tout aussi gracieuse qu’auparavant, mais Zechs ne pouvait s’empêcher de lui trouver tout de même un charme fascinant.

– Qu’y a-t-il ? Demanda gravement Duo en captant le regard de Zechs posé sur lui avec insistance. Quelque chose ne va pas ? J’ai une tâche quelque part ?

– Non, le rassura le blond d’un sourire. J’étais juste en train de me dire que je te trouve épanoui et rayonnant. La grossesse te va bien…

A ces mots les joues de Duo prirent une belle teinte rosée et, horriblement gêné, comme à chaque fois que Zechs lui faisait un compliment, il marmonna :

– Tu parles ! Je suis énorme… Et le pire, ajouta-t-il dans un soupir, c’est que j’ai pas encore fini de grossir… Je ressemble à une baleine, se plaignit le châtain, je n’arrive plus à marcher sans ressembler à un canard, j’ai mal au dos et j’ai la susceptibilité à fleur de peau. Je suis loin d’être une gravure de mode, soupira-t-il en se laissant tomber sur le bord du lit.

– Moi je te trouve parfait comme tu es, déclara le blond sur un ton qui n’acceptait aucune contradiction.

Touché par les paroles de son aîné, Duo ne répondit rien, se contentant de lui rendre un petit sourire timide. Toujours en silence, il proposa un biscuit à Zechs, tentant tant bien que mal de dissimuler le trouble qui naissait en lui.

– Tu vas bien Duo ? Finit par demander le pilote du Tallgeese, intrigué par le mutisme du châtain et l’air évasif qu’il abordait. Je te trouve bien pâle, tu n’es pas malade ?

– Ne t’inquiète pas, déclara le châtain en lui adressant un faible sourire, tentant vainement de rassurer l’officier. C’est juste un petit coup de cafard… Ca va passer…

– Tu veux m’en parler ? Proposa le blond, respectant l’intimité de son cadet.

– C’est juste que… Soupira le natté. Tu sais, reprit-il après un court silence, comme s’il cherchait ses mots, je me sens un peu coupable…

– Coupable ? Répéta le blond, ne s’attendant pas à une telle réponse. Mais de quoi ?

– Tu sais, vis à vis de Heero… Pour le bébé… D’une certaine façon, j’ai l’impression de le trahir, moi qui porte son enfant alors que lui ignore tout de sa paternité, expliqua-t-il, la voix tremblante de pleurs difficilement contenus. Co… Comment pourrais-je un jour lui avouer qu’il à un enfant… Qu’on à un enfant, se reprit-il, les larmes coulant à présent librement sur ses joues.

– Oh Duo, souffla le blond en le prenant dans ses bras, le berçant tendrement, ne sachant que dire pour rassurer et apaiser son cadet.

– Comment pourrais-je seulement partir sans me retourner en abandonnant mon enfant derrière moi ? Sanglota-t-il. Je ne m’en sens pas capable, Zechs… Je ne pourrais jamais faire ça…

– Shhh… Je sais, Duo… Je sais… Le consola l’officier en lui caressant tendrement le dos et les cheveux. On trouvera une solution, enkeli, je te le promets… On trouvera une solution…

– Bien qu’il ne soit pas encore là, je l’aime déjà, poursuivit le châtain. Je le sens en moi à chaque instant… Il fait partit de moi… Murmura-t-il avant que sa voix ne se brise.

– Personne ne te l’enlèvera, enkeli, souffla le blond, bouleversé par la détresse de son cadet. Tu as ma parole… Je ne les laisserais pas te l’enlever… Maintenant sèche tes larmes… S’il te plaît… Tu sais à quel point il m’est douloureux de te voir pleurer… Souris, enkeli, cela te va tellement mieux…

Le natté ne répondit rien, laissant libre court à ses sanglots libérateurs. Ce n’est que lorsqu’il fut trop fatigué pour pleurer qu’il finit par se calmer. Le visage toujours enfouis dans le cou de son aîné, il soupira longuement, avant de demander d’une toute petite voix éraillée :

– Qu’est-ce que je ferais sans toi, Zechs ?

– Comme maintenant, souffla le blond sans cesser de bercer l’américain, tu vivrais et tu serais heureux. Allez, reprit-il après une courte pause, tu as besoin de te reposer.

– Tu restes avec moi ? Demanda le châtain dans un murmure.

– Je vais passer voir Sally, répondit le pilote du Tallgeese. Dors tranquille, je serais là à ton réveil, ajouta-t-il en l’embrassant tendrement sur le front avant de se libérer de son étreinte.

Avec quelques difficultés, Duo s’installa sous ses couvertures et Tanganyika vint se rouler en boule tout contre lui, ronronnant de bien-être. Assis sur le bord du lit, Zechs déposa ses lèvres sur la tempe de l’adolescent :

– Dors bien, enkeli.

Délicatement, il se releva et sans bruit, il quitta la pièce. Puis, comme il l’avait dit à Duo, il partit à la recherche de Sally.

A suivre…

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Notes :

(1) C’est une berceuse en Lakota que j’ai trouvé sur le Net. Où Duo a-t-il apprit cette chanson, j’en ai strictement aucune idée, mais j’avais envie de la mettre ^^

(2) Enkeli : « ange » en finnois.

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8 réflexions au sujet de « Chapitre 10 »

  1. On dirait un vieux couple Zechs et Duo.

    J’ai difficile d’imaginer qu’il ne peut plus bouger à déjà six mois, mais c’est surtout parce que j’ai eu des grossesses qu’on ne voyait pas et qui ne m’ont presque jamais gêné. A six semaines avant le terme on commençait seulement à me demander si je n’étais pas enceinte _

    Je trouve un peu bizarre que Treize autorise à lui laisser choisir le prénom du bébé surtout qu’il n’a pas l’intention de lui laisser. Il aurait réussi à mettre plus de distance en n’autorisant pas ça, à moins que ça ne se fasse dans le dos de Treize.

    J’espère pour Duo que Zechs va savoir tenir sa promesse. D’un autre côté, il va aussi souffrir Zechs de voir celui qu’il aime partir vers les bras d’un autre. Parce que si Duo apprécie beaucoup Zechs, on le sent quand même qu’il ne l’aime pas d’amour lui.

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  2. salut! Trop chou…C’est vrai qu’Heero aura du boulot pour rècupérer Duo, du fait que sa relation avec Zechs s’approfondit de plus en bon,l’histoire n’est pas terminer je sais qu’il va surement passer encore plein d’évènement surprenant..A plus..

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  3. Merci pour ce nouveau chapitre

    Je ne sais pas comment tu vas faire pour que Heero et Duo ce mettent ensemble étant donné que tu approfondis la relation de Duo et Zechs (j’ai l’impression que Duo considère Zechs comme son frère). Si tu fait un Duo / Heero, ce dernier aura du boulot pour que Duo soit à lui, mais j’adore.

    Merci encore et j’attend ton autre chapitre avec impatience

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  4. mouais, ça reste difficile comme position… je ne sais pas comment va réagir Treize… est-ce qu’il va débarquer juste après l’accouchement pour prendre l’enfant alors que Duo dort? ou va t’il attendre (ce qui serait idiot je pense. Duo aurait alors reprit du poil de la bête…). Mais si Duo fuit avant l’accouchement, il faut le faire rapidement avant que cela deviennent dangereux.

    même chose pour les G-boys. ils doivent se dépêcher de le sortir de là, ou l’oublier encore3 mois.

    Et la relation entre Zech et Duo s’approfondit… je ne sais même plus si c’est encore possible d’envisager un 01×02…

    Qu’est ce que c’est que le lakota? et quand Duo a t’il appris cette langue?

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